STOP aux dépots sauvages
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Catégorie : Collecte des déchets -
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Création : mardi 6 septembre 2011 11:28
Les dépôts sauvages sont interdits depuis la loi du 15 juillet 1975. Se débarrasser de ses déchets encombrants sur un trottoir, au coin d'un bois ou dans une rivière est un comportement irresponsable mais malheureusement encore trop fréquent. Ces cimetières sauvages de déchets polluent les sols, les eaux, l'air et dégradent les paysages.
Les conséquences : paysages dégradés et risques potentiels ! La dégradation des paysages (sous-bois, ravins ...) est la conséquence la plus directe des dépôts sauvages et la plus dommageable en terme d'image pour notre territoire.
De plus, si des produits toxiques (huiles de vidange, pots de peinture, produits phytosanitaires, piles ...) sont déposés, il existe un risque de contamination des milieux naturels, notamment aquatiques.
Au fil du temps, les dépôts sauvages se sont constitués par simple incivisme ou, parfois, lorsqu'il n'y avait pas de solution pour certains déchets. Aujourd'hui, ces dépôts n'ont aucune raison de perdurer, la totalité des déchets ayant une filière de collecte : ordures ménagères, déchets végétaux, encombrants (par simple appel téléphonique) ...
Afin d'avoir une vision globale de l'importance des dépôts sauvages sur votre territoire, la CAB a lancé une opération de nettoyage en partenariat avec les étudiants de l'ISAB. Sur l'un des dépôts sauvages situés à Beauvais, plus de 70 m2 de déchets ont été collectés en une seule demi-journée soit environ 10 tonnes de déchets tout-venant et 1 tonne de pneus.
Deux déchetteries sont à votre disposition :
- Déchetterie de Beauvais, 17 rue Joseph Cugnot
- Déchetterie d'Auneuil, ZI de la Sablière
Si vous ne savez pas où déposer certains déchets, contactez le servie "Cadre de vie - déchets" qui vous conseillera. Un seul numéro pour toutes vos questions :
0 800 00 60 40 (appel gratuit depuis un poste fixe)
RAPPEL : Le dépôt d'objets de façon illicite est punissable d'une amende de 2ème classe, définie par l'article R632-1 du Code Pénal et pouvant aller jusqu' à 1 500 €.